LA FM, MA PLUS BELLE DECOUVERTE ET MON PLUS GRAND DESESPOIR.

La FM ma plus belle découverte.

J’ai découvert la Franc-maçonnerie il y a plus de vingt ans, et dès lors je n’ai cessé de chercher. J’ai par ailleurs cessé mon entreprise, j’ai vendu un à un tous mes biens afin de me consacrer pleinement à mes recherches. J’ai travaillé à deux rites, le RF et le REAA dans quatre obédiences différentes et les découvertes que j’ai fais sont extraordinaires, tout autant que les expériences spirituelles que j’ai vécu. Ces deux rites se lisent, se comprennent et se rectifient l’un l’autre par effet miroir. En outre, j’ai découvert de manière précise que la voie maçonnique n’est pas de conception humaine, le FM n’en a été que le pinceau, qu’un éxecutant d’une volonté bien plus grande. Cette volonté est le champ morphogénétique lié à la Franc-maçonnerie et qui est constitué de tous les FM passés à l’orient éternel. Ces FM, sont de l’autre côté du miroir et leur seule mission est de nous aidés pour que l’on s’éveille afin que cela soit bénéfique au restant de l’humanité. Les choses se font ici, et pour eux il est déjà trop tard ; ils ne peuvent maintenant que nous aider. C’est pour cela que le rite se construit au fur et à mesure avec l’apport sans cesse de nouveaux indices, car le FM est inapte au langage symbolique, car celui-ci lui est totalement hermétique, aussi lui faut-il une multitude d’indices pour pouvoir l’appréhender. C’est pour cela aussi que ceux qui s’accrochent à la tradition, sont ceux qui sont le plus éloignés de l’esprit maçonnique, car au départ il n’y avait rien ou si peu. En fait il n’existe qu’un seul rite maçonnique et celui-ci se décline de deux façons. Il y a ceux qui entrent dans le temple du pied droit et ceux qui entrent du pied gauche. Pour cela, deux versions du rite se partagent les 98% des indices pour le déchiffrer, il s’agit du RF et du REAA. Toutes les autres versions du rite ne sont qu’exotismes qui ne mènent nulle part, si ce n’est, au renforcement de l’égo et de l’orgueil. La voie maçonnique à travers ses symboles structurés sur la géométrie, expliquent les rouages de l’univers ainsi que notre place dans celui-ci. Chaque découverte que j’ai fais sur cette voie mon fait grandir, mais elles m’ont aussi isolé profondément et aujourd’hui je suis dans l’incapacité de partager le fruit de mes recherches, car mon discours reste inaudible à tous ceux qui oeuvrent en surface. J’ai beau avoir écrit une trentaine d’ouvrages, réalisé une trentaine de vidéos, partagé sur les réseaux sociaux, rien n’y fait ; j’ai l’impression de discuter avec des amibes.

La FM mon plus grand désespoir.

Depuis plus de vingt ans, j’ai quitté la surface pour chercher en profondeur. Mon but a toujours été de m’initier afin que mon coeur devienne assez grand pour pouvoir expérimenter la fraternité et l’amour inconditionnel. J’ai toujours pensé que l’initiation véritable menait à une expansion de la conscience qui masquerait toutes les mesquineries dues à l’ignorance ; aujourd’hui je me rends compte que j’ai échoué. En effet, il me semblait y être pratiquement arrivé, tout au moins, arrivé à la fin de la première étape à savoir la fin de la voie introspective. Mon coeur s’est ouvert davantage au règne animal et végétal, pour qui j’ai la plus grande compassion, mais mon coeur ne s’est pas ouvert à l’humain, pire il se ratatine. Aujourd’hui, j’ai un profond dégoût pour la conscience humaine, elle me fait vomir à m’en faire péter le bide. J’ai tellement vomi que les douleurs que j’ai, sont dues aux spasmes et crampes d’estomac d’un ventre vide. Je ne distingue en l’Homme que noirceur et puanteur et par extension le FM est à mettre dans le même sac, et lorsque je les entend discourir sur l’humilité et la fraternité, cela provoque en moi des convultions irrépressibles. Si je devais choisir entre un homme et un moineau, je s’acrifirais non pas un, mais cent hommes, pour être sur que le moineau survive. A 50 kg en moyenne par personne, cela ferait 5 tonnes de merde en moins contre tout au plus 40 gr ; en terme de résolution de la pollution il n’y a pas photo. Comment peut-on avanver sur le chemin en détestant l’Homme ? Quand est-ce que cela a merdé sur ma voie ? Certainement par mon obssession à vouloir convaincre. A un moment donné, j’ai certainement dû me retourner pour vouloir convaincre un imbécile, puis un autre s’est présenté et je me suis laissé entraîner ainsi de suite sans même m’en rendre compte. J’ai dû ainsi avoir rebroussé chemin encouragé en cela par mon orgueil et mon égo qui à ce moment là devait être démesuré, et tous deux m’ont piégé dans leur filet. Je suis, non seulement, le seul fautif de ma situation actuelle, mais qui plus est, je ne peux plus rien y faire pour la changer. Je n’ai ni la force ni le courage de réemprunter le chemin des profondeurs. Aussi la seule chose que je puisse faire s’est de m’ancrer là où je suis actuellement, car si je n’ai plus la force de redescendre plus bas, je n’ai aussi aucune envie de remonter à la puanteur et à la noirceur de la surface. La seule chose qui me console, c’est que les deux tiers de l’humanité va crever dans la décennie qui vient, non pas parce que des soi-disant illuminatis l’ont décidé, mais parce que l’univers va rétablir l’équilibre. L’Homme est actuellement une métastase pour l’univers, il est d’une laideur incroyable, aussi faut-il le recadrer. Ne nous trompons pas non plus, si l’Homme est un prédateur pour l’Homme, le FM est lui aussi un prédateur pour le FM. Mes pires ennemis sur le chemin ont toujours été les FM eux-mêmes, surtout les hauts perchés dans les degrés de perfection, s’en est pathétique.

Le seul conseil que je puisse donner à quelqu’un qui serait en route pour les profondeurs, c’est de mettre des boules Quies, à l’image des compagnons d’Ulysse qui arrivent ainsi à se soustraire du chant des sirènes. Si un mineur de fond venait à me croiser dans sa descente, qu’il me fasse un simple signe de la main lorsqu’il arrivera à ma hauteur et un adieu lorsqu’il me dépassera. Mais surtout, je lui demande de ne pas se retourner sur Sodome et gomorrhe même si je venais à crier et à gesticuler, qu’il nous laisse crever, car sinon il serait foutu lui-même à l’image de la femme de loth statufiée en pain de sel pour s’être retournée. La survie de l’humanité et de son renouveau dépend de la force de caractère de celles et ceux qui poursuivront sans état d’âme leur chemin sans se retourner ; que tous les autres crevent.

J’ai dit.